L’évolution de l’infection virale

Le virus, une fois contracté, affaiblit tout d’abord l’appareil pulmonaire à cause de l’affection de la voie respiratoire. On doit alors remettre l’appareil pulmonaire convalescent tout doucement en route. La fièvre peut aussi entraîner des douleurs musculaires. La déshydratation et les traitements peuvent également avoir quelques effets secondaires. Ainsi, il faut bien voir au niveau du cœur, car le virus peut se fixer sur ce muscle causant par la suite une myocardite virale. Cela est vraiment très dangereux, car cette pathologie peut entraîner une mort subite. Par ailleurs, il y a l’aspect mental qui est important. En effet, la privation de certaines activités habituelles peut être très contrariante.

Prévention contre l’attaque virale

Le mieux c’est de prévenir toutes sortes de maladies. Les mesures basiques sont importantes, comme se laver les mains, éviter le lieu public trop confiné, porter un masque chirurgical. La nutrition est aussi une chose intéressante, car elle contribue considérablement à améliorer le système immunitaire. Il faut d’ailleurs éviter les substances comme l’alcool et les sucreries. Cela fragilise énormément le corps. Le probiotique est intéressant, car il améliore la flore intestinale. Ce produit est également important pour la défense immunitaire. Par ailleurs, le sport est un des pratiques qui favorise l’immunité. L’intérêt de l’activité physique c’est qu’elle développe le système immunitaire, mais faites quand même attention au refroidissement. En effet, le coup de froid favorise les infections. Après l’entraînement, il faut alors couvrir sa tête et ses pieds. Après la convalescence, il faut reprendre très progressivement l’entraînement sous peine de rechuter. Une activité physique modérée booste le système immunitaire, mais au contraire, une activité extrêmement intense l’amenuise. De plus, un renforcement musculaire peut paraître intéressant. En outre, bien manger et bien s’hydrater sont de très bonne conduite à tenir. Le sommeil et la récupération mentale sont pareillement très utiles. En cas de doute, n’hésitez pas à consulter un médecin.

Les causes de la maladie de Wilson

Le cuivre est nécessaire au fonctionnement de l’organisme. Il est d’ailleurs présent dans une grande partie de notre alimentation. Le cuivre produit par la nourriture est stocké dans le foie. Il est ensuite transporté par une molécule appelée céruléoplasmine pour rejoindre les différents organes. Les cuivres en excédents sont alors éliminés par la bile et les urines.
La maladie de Wilson altère justement l’élimination du cuivre hors de l’organisme. Cependant, sa présence en excès représente une intoxication de nombreux organes.

Les symptômes de la maladie de Wilson

La maladie de Wilson est indétectable pour les enfants de moins de 3 ans. Ses symptômes sont différents en fonction de l’organe touché. S’il s’agit du foie, elle se manifeste par une hépatite aiguë et chronique. Il peut même se transformer en cirrhose. Le patient s’amaigrit et on constate un gonflement au niveau du foie. Le patient peut avoir des troubles digestifs ou encore de la jaunisse.
Si le cuivre est stocké dans le cerveau, elle entraîne des troubles neurologiques ou psychiatriques. Dans la majorité des cas, la maladie ne se manifeste qu’à l’adolescence. Il se caractérise par des troubles de l’humeur souvent perçue comme une crise d’adolescence. L’enfant peut avoir des tremblements, des problèmes de coordination et des contractures.
Si le cuivre est stocké dans les yeux, elle se manifeste par la création d’un anneau orange au bord de l’iris. Il est même visible à l’œil nu. Le cuivre peut également atteindre le cœur, le sang ou même les os.

Traitement et diagnostic de la maladie de Wilson

Il est à diagnostiquer à partir d’une analyse du taux de cuivre urinaire ou le taux de céruléoplasmine. Le patient peut également subir une IRM cérébrale pour déterminer les différentes anomalies provoquées par l’accumulation du cuivre.
Le traitement de la maladie de Wilson se poursuit jusqu’à la fin de la vie du patient. Dans un premier temps, elle consiste à diminuer le symptôme. Lorsque ces derniers sont atténués, le traitement se poursuit pour aider le corps à éliminer d’une façon naturelle les excès de cuivre.

Comment limiter les symptômes ?

Pour minimiser les douleurs ou encore l’inconfort relatif au reflux gastro-œsophagien, il existe quelques gestes que vous pouvez adopter au quotidien. Le premier est d’éviter des repas copieux et les aliments trop gras. Il ne faut pas manger des aliments riches en matières grasses car ces dernières peuvent augmenter le risque de brûlure d’estomac.

Il faut également bien mastiquer les aliments pour favoriser la digestion. Vous devez manger 3 à 4 heures avant d’aller dormir car la position allongée peut favoriser les reflux gastro-œsophagiens. Si vraiment vous ne pouvez pas respecter cela, il vous suffit de surélever votre tête pendant quelques minutes.

Les remèdes pour soulager les brûlures d’estomac

Le gaviscon en format comprimé est un très bon remède pour soulager les brûlures d’estomac. C’est un traitement efficace tant pour les brûlures d’estomac que pour les remontées acides. Vous pouvez les trouver en format comprimé ou en sachet. Pour soulager rapidement les symptômes, prenez 2 à 4 comprimés après chaque repas et au moment du coucher. Il agit en formant une barrière protectrice au-dessus du contenu gastrique acide.

Des remèdes naturels peuvent également vous aider pour soulager les brûlures d’estomac. En effet, certaines plantes sont très efficaces pour cela comme la mélisse qui permet de diminuer la production d’acides gastriques et donc protège les parois de l’estomac. La racine de réglisse peut également constituer un remède pour soulager vos brûlures d’estomac car elle est utilisée en traitement des ulcères. Certaines huiles essentielles comme l’huile essentielle de clémentine peuvent également vous aider. Pour ce faire, vous devez effectuer un massage au niveau de votre estomac.

Qu’est-ce que la constipation ?

Bien que la constipation ne soit pas une maladie en soi, elle peut entrainer des conséquences sur l’organisme. C’est pour cela qu’il faut savoir l’identifier. Si vous ressentez au moins 2 des signes suivants pendant les 3 derniers mois, vous avez de fortes chances d’être constipé.

. Une fréquence d’évacuation des selles inférieure à 3 fois par semaine
. Vous devez fournir des efforts pour l’évacuation de vos selles
. Vous devez recourir à des manœuvres manuelles pour arriver à évacuer vos selles
. Vos selles sont d’aspect dur et déshydraté
. Vous avez une sensation de blocage au niveau de l’anus

Il est à noter que le transit est normal lorsque la fréquence d’évacuation des selles se situe entre 3 selles par jour et 3 selles par semaine. Au-delà de ces limites, il s’agit soit d’une diarrhée soit d’une constipation.

Boire de l’eau pour soulager la constipation

Outre le faible apport en fibres dans l’alimentation, le manque d’eau est aussi un facteur favorable à la constipation. En effet, l’eau apportée par l’alimentation est absorbée par l’organisme tout au long du transit des aliments au niveau de l’intestin jusqu’au colon. Si le temps du transit intestinal s’allonge, les selles deviennent dures à cause du manque d’eau. Ce qui rend difficile l’évacuation des selles.

Il est donc essentiel de boire au moins 1,5 L d’eau par jour ou bien 6 à 8 verres d’eau à répartir tout au long de la journée pour lutter contre la constipation. Il est conseillé de boire de l’eau, le matin au réveil pour activer le tube digestif, puis pendant les repas en fonction de vos besoins. Il est également important de compenser la perte d’eau évacuée par voie urinaire.

Les avantages de l’eau riche en magnésium

Pour prévenir de la constipation, avoir une alimentation équilibrée et une bonne hydratation est recommandé. Concernant la qualité de l’eau qu’il faut boire, l’eau minérale riche en magnésium est l’idéale. Le magnésium stimule le péristaltisme intestinal, accélérant ainsi le transit intestinal pour éviter la constipation. D’autre part, le magnésium est aussi un agent osmotique, si bien qu’il est utilisé dans les laxatifs sous forme de citrate, de sulfate ou de carbonate de magnésium.

Malgré les bienfaits de l’eau minérale enrichie en magnésium et en bicarbonate, il ne faut pas en abuser. Elle est à privilégier en cas de constipation. Par ailleurs, d’autres types de boissons sont aussi efficaces pour prévenir ou soulager la constipation. On peut citer : les thés et tisanes, ainsi que les jus de fruits.

D’autres astuces pour soulager la constipation

La lenteur du transit intestinal se trouvant au cœur des origines de la constipation, il faut stimuler ledit transit. Cela peut se faire par la pratique d’activités physiques régulière. C’est l’une des raisons pour lesquelles les patients alités souffrent souvent de constipation. La prise de probiotiques peut aider à éviter d’être constipé. La flore intestinale possède également un grand rôle dans le transit intestinal.
On ne cesse de le répéter, mais la consommation d’aliments riches en fibres est aussi importante que l’hydratation dans la lutte contre la constipation.

Les causes de la maladie d’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative dont les signes plausibles apparaissent à partir de la soixantaine. Cependant, plusieurs études suggèrent que certains signes de la maladie sont même visibles dès la trentaine et la quarantaine.

Plusieurs facteurs peuvent favoriser la contraction de la maladie d’Alzheimer comme le manque de sommeil chronique, l’alcoolisme, les traumatismes crâniens, l’hypertension artérielle, le diabète, ou encore la prise de psychotropes.

Bien qu’elle ne soit pas héréditaire, certains facteurs génétiques peuvent tout de même favoriser le développement de la maladie d’Alzheimer sur les descendants d’un sujet atteint.

Les symptômes de la maladie

L’un des symptômes les plus connus de la maladie d’Alzheimer est la perte de mémoire. S’en suivent ensuite différents troubles dont ceux des fonctions exécutives, de l’orientation temporo-spatiale, du mouvement et même du langage. Ainsi, la personne atteinte perd peu à peu son autonomie et nécessite une assistance. Le sujet présente également des troubles de l’humeur qui se caractérisent par des phases d’anxiété, d’irritabilité et de dépression.

Au début de la maladie, ces signes ne sont admis que par les proches du patient étant donné que celui-ci est dans le déni. Des tests cliniques sont désormais mis en place afin d’établir un diagnostic et confirmer la présence de la maladie.

Des diagnostics différents

Le mal de tête peut se localiser en diverses zones du crâne en fonction de sa cause. Différentes théories sont élaborées à ce sujet et il existe autant de propositions de solutions que de soigneurs. C’est d’ailleurs au sujet des causes que les hypothèses diverses sont émises et qu’elles peuvent être totalement contradictoires. Pour une même douleur à la tempe, trois soigneurs différents peuvent diagnostiquer trois sources différentes : un va parler de parasitose, l’autre de névralgie, le troisième de problème de vision, autant d’hypothèses qu’il faut recouper par d’autres informations dont des résultats d’analyses médicales, par exemple.

Consulter pour éviter les complications

En d’autres termes, il n’y a qu’un diagnostic médical approfondi pour déterminer de façon certaine l’origine d’une migraine et apporter le traitement adéquat. Le recours à des traitements non efficaces crée des problèmes de rémanence des douleurs, et surtout d’incrustation de la maladie, notamment dans le cas des parasites de la bilharziose ou de la cysticercose qui risquent de créer des kystes dont l’élimination est de plus en plus difficile. De même, un problème de vue ne peut pas se résoudre par la prise d’antalgiques. Sans correction avec les lunettes adéquates, le mal va persister. Dans ce cas encore, l’utilisation de traitement non adéquat n’aura aucun résultat efficace. D’autres soignants encore jurent avoir soigné des malades en leur faisant boire de l’eau, sans savoir quel effet avait l’eau sur les organismes de ces personnes, et surtout sans penser aux effets indésirables d’une cure d’eau sur certains organismes.

La définition du syndrome

Le syndrome de Gilles de la Tourette est une maladie qui touche les personnes de moins de 18 ans. C’est en partie un trouble neuropsychiatrique. En général, il se produit sous plusieurs formes. On entend souvent ce syndrome sous l’appellation de tic nerveux, soit d’un tic moteur, soit d’un tic vocal. Ces deux formes sont encore représentées en sous-division. Par contre, il est à préciser que ce sont des réflexes involontaires. Souvent, les malades sont confrontés à un inconfort inévitable. Cela crée beaucoup de gêne envers son entourage, une raison de plus de se cacher du monde extérieur.

Les sous-caractéristiques du syndrome

Comme dit ci-dessus, le syndrome de Gilles de la Tourette ou SGT est subdivisé en plusieurs couches, soit trois grandes caractéristiques.
Les tics simples : c’est lorsque le malade a des tics sonores, soit des petits bruits, mais sans qu’il ait à subir des troubles de comportement.
Les tics complexes : c’est le cas des personnes qui ont des tics vocaux, mais elles n’ont pas de coprolalie, soit le fait de dire des mots grossiers à tout bout de champ.
Les malades atteints d’un niveau grave de tics : ce sont les personnes ayant des TDAH ou Troubles de Déficit d’Attention/Hyperactivité et des tocs de temps à autre. Lorsque le malade atteint ce niveau, il est susceptible de générer de grands troubles d’anxiété, d’hyperactivité et génère de l’auto agressivité.

Les inconvénients principaux de cette maladie

Lorsqu’une personne est atteinte du syndrome de Gilles de la Tourette, elle est souvent face à :
une grande difficulté de concentration
des troubles de sommeil fréquemment
une énorme difficulté par rapport à ses comportements impulsifs
une dépression de temps à autre
une difficulté d’apprentissage

Savons-nous vraiment ce qui cause l’intolérance au gluten ?

La maladie coeliaque ou l’intolérance au gluten survient à n’importe quel âge. Selon des études, elle touche plus de femmes que d’hommes. Les principales causes de l’intolérance au gluten sont encore méconnues. Malgré tout, les scientifiques ont pu définir que des facteurs génétiques et environnementaux sont liés à cette maladie. Ainsi, si l’un des parents est touché par cette maladie auto-immune, le risque que son enfant développe l’intolérance au gluten est de 40 %.

Les différents signes de l’intolérance au gluten

Comme le précise Afdiag, le diagnostic de l’intolérance au gluten est assez compliqué, car les signes peuvent varier d’un individu à l’autre. De ce fait, il se peut que certaines personnes n’aient aucun symptôme et que d’autres les cumulent.
– Les signes classiques : l’intolérance au gluten se manifeste souvent par des diarrhées, des douleurs de l’intestin, des ballonnements, des nausées, etc. Le patient perd alors du poids et est souvent sujet aux aphtes, aux démangeaisons, à l’anémie, etc.
– Les manifestations simples : la personne atteinte de la maladie coeliaque ressent souvent une très grande fatigue et des douleurs osseuses et articulaires. En outre, elle est sujette aux sautes d’humeur, aux maux de tête avec migraines.

Qu’en est-il du diagnostic ?

Lorsque les signes reflètent une intolérance au gluten, un prélèvement sanguin avec recherche d’IGA ou anticorps anti-transglutaminase va être prescrit par le médecin généraliste. Si le résultat est positif, une endoscopie avec biopsie sera prescrite par un gastro-entérologue. En fait, la biopsie est le seul moyen qui permet de dépister l’intolérance au gluten.

Des maladies qui nous touchent tous

En France, chaque année, on compte de nombreux décès liés à la grippe, ce qui peut paraître étonnant en ce XXIe siècle, mais c’est bel et bien la réalité. Peut-être connaissez-vous quelqu’un dans votre entourage, un collègue ou même un membre de votre famille qui, en ce moment, est terrassé par le rhume ou la grippe. Peut-être même êtes-vous un sujet fidèle de ces deux maladies. Fort heureusement, il existe des médicaments efficaces pour l’emporter. Vous devez y penser dès que vous ressentez des picotements dans votre gorge, que vous commencez à avoir mal à la tête, si vous reniflez un tant soit peu et si vous éternuez, et surtout si vous ressentez une grande lassitude brusquement. Parce que là, vous pouvez être certain (e) que c’est le rhume ou la grippe. Et alors, quels médicaments prendre ?

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS préviennent contre les agents qui favorisent la douleur, l’inflammation et la montée de température. Lesquels plus précisément ? Parmi les plus efficaces, il y a l’Ibuprofène -Advil et Motrin- et l’acide acétylsacilique, la fameuse aspirine. Quant au Tylenol, l’acétaminophène qu’il contient agit sur la zone du cerveau qui perçoit la douleur et aide à contrôler la température. Le rôle des AINS est de diminuer l’intensité des symptômes pendant 6 à 8 h, tandis que l’action de l’acétaminophène dure entre 4 et 6 heures. Aussi, si vous manquez cruellement de sommeil, peut-être qu’il est préférable d’opter pour les AINS.

Recommandations utiles

Les médicaments sont destinés à soulager les maux et à soigner mais peuvent être dangereux si vous les prenez à tort et à travers. Aussi, si vous en prenez en automédication, veillez à suivre scrupuleusement les indications sur la notice. Dans le cas d’une congestion nasale associée à d’autres symptômes de la grippe ou du rhume, vous pouvez utiliser Dristan Vaporisateur nasal à effet prolongé, Otrivin Complet ou Tylenol Sinus ou encore Sudafed Rhume de cerveau et sinus. N’en prenez pas si vous avez un trouble métabolique mal contrôlé car ils peuvent stimuler et augmenter le rythme cardiaque. Contre la toux, du Balminil DM, Vicks NyQuil pour la toux, du Buckley Complet sont indiqués, mais consultez votre médecin au cas où vous avez une maladie cardiaque, hépatique, thyroïdienne, rénale ou pulmonaire, si vous avez un glaucome ou si vous présentez une hyperplasie de la prostate. Mais si vous avez les symptômes aussi bien de la grippe que du rhume, peut-être devriez-vous associer plusieurs remèdes, une combinaison d’analgésiques et de fébrifuges ainsi que de décongestionnants. Peut-être que vous aurez aussi besoin d’expectorants, d’antitussifs et pour vous permettre un bon sommeil la nuit, des antihistaminiques.

Les réflexes à adopter

Les infections urinaires provoquent un problème d’élimination ainsi que d’une douleur plus ou moins aiguë et des sensations de brulure. Le principal réflexe à adopter pour les prévenir consiste à boire une quantité suffisante d’eau. Dans l’idéal, consommez au minimum 6 à 8 verres par jour. Évitez les boissons sucrées et préférez plutôt les tisanes pures. Grâce à cet apport optimal, votre organisme aura plus de facilité à éliminer les bactéries présentes dans le système urinaire. Ensuite, prenez l’habitude de toujours vous soulager lorsque l’envie se fait ressentir. Se retenir d’uriner peut en effet favoriser la prolifération des bactéries. Enfin, veillez à maintenir une bonne hygiène. Pensez notamment à vous essuyer avec des lingettes après être allé aux toilettes. Procédez également à un nettoyage quotidien des zones situées aux alentours de l’urètre comme l’anus. Si malgré vos précautions, vous êtes victimes d’infection urinaire, le médicament Macrobid peut vous soulager. Vous pouvez l’utiliser en le commandant en ligne, et ce même si vous n’avez pas d’ordonnance.

Le cas particulier des femmes

Comme dit précédemment, les femmes sont les plus exposées aux infections urinaires. Cela s’explique par la proximité entre l’urètre et l’anus. Les bactéries peuvent facilement s’infiltrer dans l’appareil urinaire pour remonter jusqu’à la vessie ou aux reins. À noter également que l’urètre de la femme est plus court. Mesdames, vous devez ainsi redoubler de vigilance pour prévenir les infections. Pour diminuer les risques, évitez d’utiliser les produits déodorants qui pourraient fragiliser votre flore vaginale. Privilégiez les soins avec un pH neutre et qui ne contiennent ni parfum ni paraben. Il est aussi recommandé d’uriner immédiatement après une relation sexuelle pour prévenir la transmission et la prolifération de bactéries. Enfin, remplacez le diaphragme par une autre méthode de contraception afin de limiter les risques d’infections récurrentes.